Dormir sur un clou
Une métaphore que je partage avec mes clients…
« Devant la porte d’une épicerie, un vieux chien dormait au soleil.
Mais, de toute évidence, il ne se sentait pas bien.
Dans son sommeil, il s’agitait, il gémissait, il poussait de grands soupirs plaintifs…
Un client demanda alors à l’épicier : « Est-ce que votre chien est malade ? »
L’épicier répondit : « Non, il va bien, mais là, il est couché sur un clou… »
Le client : « Et bien, pourquoi ne change-t-il pas de place ? »
L’épicier : « Parce qu’il n’a pas assez mal… »
Ne pas avoir « assez mal »…
Combien sommes-nous à tolérer dans nos vies de ces petits clous qui nous fatiguent, qui nous agacent, qui nous ôtent parfois le goût de vivre chaque jour avec gratitude ?
Certains d'entre nous ont une résistance étonnante vis-à-vis de ces inconforts, de ces irritants, comme si c’était fatal, immuable, comme s’il était normal de souffrir, de supporter, de résister…
Parfois, c’est une petite douleur (qui annonçait un pépin de santé nettement plus grave…)
Parfois, c’est un bris de communication (qui deviendra un gouffre…)
Parfois, c’est un comportement qui froisse (et qui, à la longue, exaspère…)
Intervenir sur le clou, ce ne serait parfois pas grand-chose, mais pourtant nous sommes beaucoup à laisser les choses s’aggraver de telle sorte que nous n’ayons plus d’autre choix que d’intervenir en urgence (le malaise respiratoire ou cardiaque qui motive la perte de poids ou l’abandon de la cigarette, la rage de dent qui fait courir chez le dentiste, le conjoint qui fait ses valises et claque la porte, etc.).
Sur quels clous dormez-vous ?
Quelles sont ces petites choses qui gaspillent votre énergie, que vous subissez comme des fatalités, qui vous ont fait développer des stratégies parfois très énergivores pour les endurer, mais qui conditionnent négativement vos comportements, vos croyances et vos humeurs ?
Bien sûr, une certaine tolérance pour de nombreux désagrément est aussi un signe de sagesse, mais jusqu’à quel point ?
Que pouvez-vous facilement modifier, voire éliminer ?
Comment reprendre le pouvoir sur la situation ?
Il n’est pas toujours si simple de savoir par quoi commencer, de vraiment comprendre de quoi est faite la problématique, de discerner quels éléments seront à prendre en considération en priorité, ceux sur lesquels nous auront prise, quelle sera notre marge de manœuvre, quelle démarche suivre pour transformer les choses…
C’est peut-être le moment de faire appel à un coach !
Le coach est un professionnel de l’accompagnement, il est formé à la méthodologie coaching qui est pragmatique, constructive et respectueuse des volontés de la personne coachée.
Le coach questionne la personne pour permettre la clarification de la situation et des enjeux.
Il est aussi à la recherche des talents, des savoir-faire, des expériences utiles que la personne possède déjà et aussi des compétences qu’elle peut acquérir.
Lors de sa formation, le coach a appris, et testé s’il a été formé chez Coach Académie, des modèles de questionnement et des outils qui sont autant de stratégies permettant de gagner en efficacité dans la recherche des solutions.
Il existe de milliers de recettes toutes faites et disponibles à tous sur Internet, des centaines de livres de développement personnel pleins de conseils souvent utiles, des concepts philosophiques aussi de grande utilité pour réfléchir à la portée de nos pensées, de nos désirs et de nos actions, mais il est irremplaçable d’avoir l’occasion, au moins une fois dans sa vie, d’être accompagné.e soi, dans des séances sur-mesure, dans lesquelles les particularités de sa personnalité, de son expériences, de ses ambitions seront vraiment entendues et prises en considération.
C’est ce que propose le coaching humaniste que nous enseignons, jour après jour, depuis bientôt vingt ans, et toujours avec la même passion du métier et le même plaisir de le transmettre !
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